[Report] Festival International du Film Politique de Carcassonne 2022 : jours 1 et 2

Enfin !

Ainsi aurait pu être ouvert l’édition 2022 d’un Festival de Film Politique qui a tout d’un survivant, après une année 2021 annulée in extremis, laissant public, organisateurs et journalistes dans un silence douloureux qui correspondait si bien à l’incertitude de l’époque.

C’est d’ailleurs d’émotion qu’il fut question, dès les premiers instants de la cérémonie d’ouverture, lorsque le directeur du Festival, Henzo Lefevre, un peu perdu et la voix chevrotante, a ouvert le micro, bien vite rejoint par son acolyte et président Etienne Garcia, autre face du duo qui avait rêvé, il y a quelques années, d’implanter en région (nous y reviendrons) un festival à même d’apporter au plus grand nombre une réflexion sur le cinéma et le monde.

Emotion qu’il faut mesurer, sans cynisme, quand on sait ce que cela peut représenter d’un combat qui fut démoli d’un geste, obligeant à annuler toutes les venues et envoyer au pilon des milliers de programmes, oripeaux dérisoires d’une année passée de travail et d’une passion, portée à bout de bras par les équipes depuis maintenant 4 ans.

C’est cette vibration, mélange de joie, de soulagement et de fébrilité parfois inquiétude, qui donne au festival en cet an troublé de 2022 un ton si particulier, entre monde qui ne tourne toujours pas rond et qu’on évite pudiquement par « la situation », absence d’une des présidente de jury, Zabou Breitman, qui suivra la compétition à distance, ou un Zinedine Soualem ayant pu valider son arrivée le matin même suite à un PCR.

Le Covid, puisqu’il faut le nommer est partout, des échanges forcément limités avec la population de la ville (adieu, les buffets où on débattait jusqu’à n’en plus pouvoir du film du soir), suscitant contrôle et parfois agacements (la faute aux imbéciles qui profitent de la salle pour retirer le masque), donnant perpétuellement cette impression de jouer sur le fil.

Une édition funambule, donc, mais une édition : et qu’il est bon d’être de retour, et de participer à cette réflexion, toujours aussi engagée, trouble, parfois limite (nous allons le voir), sur la politique et le cinéma. Réfléchir aux formes, et réfléchir à ce qui fait la vie de la cité, comme l’a rappelé Henzo Lefevre dès ses premières phrases, dans un festival orienté vers tous, grâce à une politique tarifaire agressive (le pass pour les 5 jours est à 20 euros) et une offre, de la fiction au documentaire, qui ne peut qu’intriguer, interpeller, interroger.

Reprendre la vie et y réfléchir : un joli programme, dont les salles, toujours plus nombreuses pour le festival, témoignent par leur taux de remplissage hallucinant de la nécessité impérieuse, pour tous. Funambulons donc, continuons le combat.

Jour 1.

  • Le monde d’hier, de Diasteme

Et de fil, il est aussi question, dès le premier film, problématique, du festival. Celui signé Diastème (malheureusement plus connu pour la polémique de son film « Un francais » que pour son long parcours de metteur en scène), qui voit Elisabeth de Raincy (Léa Drucker), présidente sortante de la République Francaise, découvrir à quelques jours du scrutin grâce à son secrétaire général (Denis Podalydès) l’existence d’une video compromettante pour le favori en course à même de laisser un boulevard à l’extreme droite qui ne cesse de monter en sondages. Que faire, alors ? Ne pas interagir ? Et si décision est prise, comment sauver la République et préserver ses principes ? Jusqu’où aller pour sauver la liberté ?

Si l’idée de fable noire, quasiment mythologique façon drame grec, séduit dans un premier temps par son unité de lieu (le palais) et d’acteurs (quasiment uniquement au nombre de quatre), et par son incroyable ambiance crépusculaire et nocturne (beau travail d’image, d’un gris profond) que vient rehausser la belle idée d’une présidente malade en secret et qui se shoote à l’oxygène, l’angoisse qui étreint prend très vite un tour on ne peut plus borderline quand le film traverse sans coup férir les limites de l’acceptable.

Car quelle meilleure idée que celle proposée par Denis la malice, pas avare de stratagème autant que de leçons de géopolitique pour CE1 : abattre le candidat d’extreme droite.

10 ans d’études et 20 ans de carrière géopolitique pour un tel trait de génie. Astuce : ce vieux tour de force d’intelligence, donnant lieu à de multiples discussions de comptoir avinés à base de « et toi, Michel, si tu pouvais tuer Hitler, tu le ferais ? », est ici traité avec le plus grand des dangereux sérieux. Dangereux parce que, au delà du fait que le film joue à fond la carte du réel et non le décalage de la fiction (level 0), et de son idée, d’une bêtise confondante évidente, de traiter les intrications politiques de l’extrême droite et des xénophobies comme un simple problème extérieur (level 1), que d’ailleurs il suffit de gérer en répondant à la violence des idées par la violence des armes (level 2, merci la NRA), il offre surtout le flanc à une véritable déferlante du « tous pourris on nous manipule » (level 3) extrêmement nauséabonde.

Tirer le fil de ce penchant amène à l’abyme (et abime la démocratie) : pourquoi une femme, blonde, au pouvoir, choix jamais diégétiquement justifié, dans un film sortant en 2022 au moment même d’une élection déjà dangereuse ? « Je trouvais ça bien, les femmes ont leur place », dira piteusement Diastème en se refusant à développer (que ladite femme s’apprête, certes après atermoiements, à détruire la démocratie d’une balle de sniper ne semble pas effleurer). Et ce corps malade, sous perfusion, n’est-il pas, au fond celui d’une Nation Francaise qui s’écrase ? On ne s’étonnera d’ailleurs pas de voir au générique le duo borderline Fabrice Lhomme et Gérard Davet, jamais avares d’une analyse similaire.

Ce refus de prendre à corps de tels enjeux, renouvelés d’ailleurs par une défense malaisante lors du débat suivant le film (« je fais un film, pas de la politique ») étonne de la part d’une œuvre dont la part de didactisme lourdaud  semble assumée en des tunnels de dialogues où les acteurs semblent perpétuellement s’adresser au public dans  des séquences lunaires où on s’interroge de la capacité mentale des gens en place au pouvoir  si on doit leur explique de telles choses après 5 années : « madame la présidente, qui voudrait déstabiliser la démocratie si ce n’est l’extrême-droite appuyée par le pouvoir russe en place, comme ce fut le cas en Hongrie, en Ukraine, en Hollande, en… » etc.

En jouant sur le tableau de la leçon tout en s’en dédouanant et en refusant de l’assumer (« j’ai fait un conte » dira Diastème, actant le clin d’œil appuyé bien fortement par la fille de la présidente au couloir de « La Belle et la bête » de Cocteau), le réalisateur ouvre la porte aux égouts qui ne manquèrent pas de se déverser lors des interventions publiques suivants la séance : Davos5GToutcacestmagouilleetcompagniefauttoutfairepeterabaslepouvoircorrompu.

D’un grand film politique, angoissant, intime, faits de couloirs et coulisses (on ne peut que repenser au brillant « Exercice de l’Etat » qui écrase immédiatement par sa finesse), spirale sombre et anxiogène, il ne reste alors qu’une petite chose rabougrie laissant derrière elle un fumet dans lequel on espère marcher du pied gauche.

 

Jour 2.

  • Les insulaires, de Maxime Faure et Adam W. Pugliese

Changement radical (dieu merci) de braquet avec le premier film de cette seconde journée. Soit l’histoire, à travers un documentaire issu d’une bourse d’architecture, des habitants du quartier des îles, quelque part près de la frontière suisse, et dont l’état vient de décider du relogement et de la destruction des barres d’HLM en place depuis les années 70.

Comment faire pour se réinventer, après une vie ? Pour aller où ? Que laisse-t-on derrière, dans ce genre de quartier dont la simple traversée donne des frissons à n’importe quel citadin ? Comment traverser ce voile ?

Si le documentaire n’évite pas les errements du docu de création, entre plans hiératiques et posées (corps immobiles regardant au loin hors champ dans des plans trop longs), cadrage 4/3 et rythme parcellaire et trop lent, et s’il déçoit en ne parvenant jamais à dépasser son horizon initial (« snif on est tristes de partir c’était quand même bien ici »), il se sauve non seulement par une belle maitrise du cadre et de son architecture (plans de couloirs vides, compositions en lignes verticales et horizontales) et par sa mise en scène, non des témoignages, souvent ratés parce que redondants, ou des situations (on sent que chaque personne a répété sa scène dix fois), mais des gestes, qu’ils soient quotidiens (faire la cuisine, laver une salade, préparer le thé, feuilleter des photos souvenirs), ethnologiques (la liste des cris et gestes, langage compris de tous les habitants pour communiquer de fenêtres en fenêtres dans un temps sans téléphone portable) ou quasiment archéologiques (les enfants qui taillent de silex sur du béton, qui tripotent un ver de terre).

En égrenant ces instants s’accumule alors ce que les mots ne parviennent que gauchement à dire : l’idée d’une communauté, d’une histoire qui s’inscrit par la répétition et l’échange (le symbolique pot de citron confit préparé par l’une des habitantes où chacun venait se servir).

Le film, pourtant trop rigide, se fait alors étrangement plus impressionniste, s’attardant sur un rideau où passe la lumière, un pièce vide, une pile de cartons. Dans ces touches émouvantes résonnent des vies, dont les souvenirs passent d’une famille à l’autre, asiatique, maghrébine, française. Et s’ouvre, dans ces rebonds, la possibilité d’une île, bientôt disparue.

  • Selon la police, de Frédéric Videau

C’est peu dire que, échauffé par l’expérience de la veille, la projection de « Selon la police » s’annonçait électrique et hérissante.

Film choral au casting 3 étoiles, tourné dans la région de Carcassonne et Toulouse et présenté en avant premiere mondiale, il prenait sur son dos l’importante histoire des films de commissariats, en contant la marche désabusée d’un flic usé d’une cinquantaine d’années, Ping Pong (magnifique Patrick d’Assumcao), qui un matin brûle sa carte avant de disparaitre dans Toulouse. Durant le jour et la nuit de sa perte se croiseront les destins des différents membres du commissariat que le film suivra un à un, de la jeune recrue au flic fatigué, du petit nerveux au frangin fragile, de l’arabe au Français au serbe à l’arménien, de Laetitia Casta à son jeune enamouré de collègue Corentin Fila.

Si le dispositif initial, fait du double mouvement entre la marche de Ping Pong et un rayonnement en étoile à partir de la scène initiale de sa carte qui brûle, agace un peu par son fake, et si son didactisme parfois à gros sabots dans l’écriture de personnages et leurs archétypes pourrait en faire un film si facile à détester, on ne peut qu’admettre que « Selon la police », ayant pourtant des traits communs avec son confrère de la veille (monde qui s’effondre, tension d’un pays), évite avec élégance le film à tendance fascisante (la loi et l’ordre) ou son pendant bienpensant Télérama « tout le monde déteste la police ».

La faute (ou grâce à) à Ping Pong, corps fatigué et trop large, tout d’abord, bouleversant dans son errance à petit pas et sur le fil (encore), toujours à deux doigts de l’extinction, et qui se sépare de chacun de ses atours de flic au fur et à mesure du temps et des scènes, cherchant un sourire, une rencontre qui pourrait le maintenir en vie ou lui donner une raison d’être, façon « le Feu Follet » de Malle en costume bleu marine, et qui aurait pu à lui tout seul tenir un film entier.

Mais c’est dans son obstination à éviter l’écueil du binaire (les flics ont raison/les flics sont des petits fachos) que Frédéric Videau parvient à trouver un ton grâce à un horizon malin : au fond, ce n’est pas la police ou les violences, le problème, mais la perte du lien, avec la population, la disparition des rencontres, la pression du chiffre, symbolisé par Pingpong, à nouveau, dont on apprend qu’il vit au cœur de la cité, et qu’il avait gagné son surnom en organisant des tournois pongistes avec les jeunes.

En réorientant le débat hors de la tension (sans pour autant l’oblitérer et en la montrant à longueur de scène), il finit par tracer un panorama de femmes et d’hommes aussi fatigués que leur pays, aussi prêts aux débordements (le passage à tabac d’un détenu, par vengeance) ou au désespoir que les concitoyens qu’ils sont sensés protéger au lieu de brimer. Chacun a ses raison et fait comme il peut, de toute manière on ne peut que limiter les dégâts en espérant de ne pas tomber, que ce soit intimement (« Il faut tenir » dira Ping pong à la jeune femme) ou à l’échelle d’une démocratie.

Même si le projet souffre d’innombrables défauts, au premier rang duquel un final complètement ridicule et risible, oscillant entre le grand spectacle borderline avec un deus ex machina sorti du chapeau et une fin radieuse complètement hors de propos, et au second par sa représentation malheureusement ratée de la population française, réduite à un enchainement de caillera violentes ou de personnalités méprisantes, ressentir, dans un film aussi grand public, cette fatigue désabusée et grise (qui donne d’ailleurs une longueur ayant divisé les critiques présents), quasi dépressive, mérite d’être salué.

 

  • Goodbye Soviet Union, de Lauri Randla

Petit pas de côté dans cette sélection, et pour le festival, qui a décidé cette année d’offrir au public un film estonien, pays plutôt rare dans nos programmations, à travers une histoire séminale de ces pays pas si lointain : la chute de l’URSS.

Une chute vue ici à travers le regard de Johannes, jeune enfant né d’une maman trop jeune qui bien vite va fuir de l’autre côté du mur pour le travail, l’obligeant à faire face à lui-même et à son imaginaire, quelque part dans un monde où s’éveille à la fois la sensualité du premier baiser et les possibilités d’une frontière qui va petit à petit se craqueler à coup de poupées Barbie, de Nike à LED et de chocolats aux formes incroyables.

Un film étonnant, décalé par son ton du reste de la compétition, et introduit par Henzo Lefevre comme une sorte « d’Amélie Poulain estonien ». Autant dire qu’on avait très envie de se lever et se casser.

Dieu merci, non.

Car sous son humour burlesque de passage (l’hilarante séquence d’ouverture de sa naissance et l’injonction faites aux femmes soviétiques d’accoucher en silence, puis le partage de la couveuse entre prématurées qui scellera le destin de cet immigré avec une jeune russe pur jus), ce film que le père de famille ne cesse de commenter un peu de manière méta et ironie comme « une romance soviétique » se révèle bien plus malin dans son étrange mélange de sentiments.

Loin d’accoucher d’un film enfantin, en se cantonnant avec force à Johannes, et en filmant son passage de l’enfance à l’adolescence dans un parallèle croquignolet avec son pays (son premier baiser sera sous les notes mélodiques de l’hymne russe chanté par Ken le soviétique, en fait une poupée de Gorbatchev), il parvient à coup de nostalgie, de colères aussi (les errements d’immeubles en immeubles, l’irradiation dont sera victime Johannes lui donnant un air d’ahuri pendant la moitié du film) à tracer un univers finalement beaucoup plus gris que joyeux, fait de séparation aussi, de tristesse ou de morts, forçant la note d’un perpétuel sourire en demi-teinte.

Foutraque, beaucoup trop long, tirant bien trop de lignes pour ses épaules, son ambivalence branlante lui offre tout son charme, finalement le plus à même d’offrir toute la palette contradictoire, non seulement face à l’enfance mais à tout un régime dont l’Ostalgie vient vanter la douceur sous la violence face à un capitalisme du trop où ce sont les adultes qui s’infantilisent devant des écrans publicitaires.

  • Municipale, de Thomas Paulot

Etonnante accroche de documentaire que d’annoncer « un film avec Laurent Papot ». C’est que ce « Avec » est tout l’enjeu de ce film étrange et stimulant qui voit une équipe de cinéaste débarquer dans la petite ville sinistrée de Revin, dans les Ardennes mais sans Electrolux aujourd’hui disparu, pour proposer une expérience hors du commun : un candidat fictif mais réellement présent, un acteur, Laurent Papot, donc, qui se présentera au titre de maire mais annonce dès à présent sa volonté de laisser le pouvoir à la population.

S’en suit alors, quelque part entre la performance et Debord, une déstructuration méthodique et extrêmement féconde de la mécanique politique : c’est quoi, représenter une population ? Comment on crée un mouvement ? comment on emporte avec soit les gens ? Qu’est-ce qu’on peut dire d’un territoire, quand on y est un inconnu ? C’est quoi, faire démocratie ?

S’attaquer à l’échelon le plus direct de participation du peuple n’est pas neutre. Dans une démarche quasi propédeutique (pas très lointaine de l’idée du tractage), le film donne alors l’impression de se construire et déconstruire de scène en scène, interrogeant sans cesse et sans temps mort à la fois les enjeux de la politique, mais de son dispositif même, lui aussi questionnable : pourquoi faire débarquer des citadins dans cette ville inconnue ? Pourquoi foutre la merde ? Faut-il assumer d’être un acteur ? Où s’arrêter ?

Cette volonté parfois déstabilisante par son chaos impressionne par sa capacité à ouvrir une multitude de portes qui voit se confondre tout à la fois son sujet et son expression.

Le trouble le plus total s’incarnant dans Laurent lui-même, acteur téléguidé par Ferdinand Flame et Milan Alfonsi (c’est une des problématiques du film que de ne pas les filmer ou presque, alors qu’ils tirent toutes les ficelles) qui peu à peu se met à y croire, et à vivre, en même temps qu’il en déconstruit les règles, un éveil politique, certes voué à l’échec, mais qui trouble de manière durable les frontières entre fiction et réel.

On regrettera alors simplement une fin complètement fictionnelle (fausse dépression mise en scène par le cliché d’une barbe qui pousse et qu’on rase pour revenir à la vie) et que le film évite soigneusement son péché originel, à savoir qu’une telle proposition, lumineuse, ne puisse pas se tenir de manière constitutionnelle.

S’il ne résout pas ses problématiques, et s’il vire parfois un peu trop à la mise en scène (on y débarque chez n’importe qui à coup de 4 personnes et caméra sans surprise aucune) ou qu’il se plait à retirer toutes les crises et obstacles qui auraient pu émailler le parcours (on a le sentiment que l’échec arrive comme une surprise et que tout se met en place de manière positive alors que ces limites semblaient justement le cœur du propos aussi), le film a l’élégance, en une utopie parfois branlante et un peu infantile, de parvenir, en un condensé de 60 minutes à peine, de déstabiliser et ouvrir un nombre incalculable de questions et ébranlements de certitudes sur ce qui fait le cœur de notre vie – comment se représenter ? comment reprendre en main notre histoire ? – et, dans un geste commun, ce qui fait le cœur du cinéma, à savoir ses frontières parfois floues et fécondes et les conséquences de chaque dispositif.

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A propos de Jean-Nicolas Schoeser

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