Et voici un sixième et magnifique coffret qu’édite Powerhouse, placé comme son titre le suggère sous le signe des ombres… On tremble et on jubile.

 

Le spectre du chat (Shadow of the cat, John Gilling, 1961)

Ayant assisté à l’assassinat de sa maîtresse par l’entourage de son mari, un chat devient pour les coupables le témoin à éliminer pour profiter pleinement de la fortune de la défunte. Le spectre du chat, sous ses aspects de divertissement classique un peu anodin, offre une fable ironique et misanthrope qui sied parfaitement à l’univers toujours critique de John Gilling. Tel une Miss Marple ou un Hercule Poirot le chat connaît les coupables, mais plus encore, il se fait rouage du destin, les entraînant un à un vers la mort. La mise en scène enlevée de Gilling fait des merveilles, dominée par un humour sans pareil, introduisant subtilement la double interprétation, le danger à moustaches, astucieux héros-assassin déjouant toutes les tentatives de ces humains qui en veulent à sa vie ou pur fantasme des coupables, se précipitant d’eux-mêmes dans les pièges fatals. Ils sont tellement ridicules, tellement pathétiques que Le Spectre du chat adopte régulièrement le ton de la comédie noire dans l’esprit des studios Eellings.

Capture d’écran Blu-Ray © Powerhouse

Les méchants (André Morell, génial, en tête) ne se contentent pas ici d’être méchants mais  sont également d’une absolue médiocrité. Qu’il est jouissif d’observer ces adultes cupides croyant tout maitriser se débattant comme des marionnettes, chercher en vain à anéantir la terrifiante bête,  qui se balade toujours nonchalamment dans la demeure tout en leur crachant à la figure. Le chat est une machine du destin à la fois palpable et immatérielle – présageant presque de la série des Destination finale – ne provoquant pas directement la mort, mais l’occasion de s’y précipiter. L’animal regarde à la fenêtre, déambule dans les couloirs, guetteur ou promeneur et tout devient possible entre la coïncidence ou la présence « maléfique » : le pied trébuche si facilement, le vent pénètre dans les pièces. Seuls deux humains surnagent dans ce cloaque de méchanceté et de mauvaises intentions et il s’agit évidemment de celle dont chacun cherche à se débarrasser jouée par une Barbara Shelley d’autant plus craquante que loin des scream queen, se révélant téméraire et déterminée.

Parmi les curiosités, une musique de Míkis Theodorákis – oui Theodorákis sur un Hammer ! – efficace mais assez fonctionnelle. Gilling adopte la perception du chat à travers une image déformée, parti-pris classique mais efficace. Le spectre du chat, avec ses références à Edgar Poe, se définit comme un conte moral qui trahit le peu de foi en l’humanité de ses auteurs mais l’amour des animaux – si, si ! Loin de n’être qu’un gimmick ou un gadget, le chat devient le héros d’un drôle de survival dont on tremble pour la vie, espérant qu’il échappera à la mort et enverra ces criminels en enfer. La reprise finale de possession des lieux par notre hôte à moustaches suggère qu’il existera toujours un chat providentiel pour surveiller les turpitudes humaines, prêt à tout moment à faire régner la justice féline. Le film capte à merveille le calme olympien des chats, leur capacité à démontrer leur amicalité comme leur hostilité et surtout cette capacité à nous observer, à nous laisser la sensation que nous n’avons pas de secrets pour eux, que rien ne sert de leur dissimuler quoi que ce soit. Ils savent tout de nous, ce sont les maîtres.

Entre le visible et l’invisible, il y a ce plaisir de l’entre-deux, du schéma policier qui se refuse à ne pas être un peu fantastique, et du surnaturel qui ne se nomme jamais vraiment, ce qui rend l’ensemble délicieusement flottant et ludique. Cette hésitation, que l’on pourrait reprocher au Spectre du chat, fait toute la singularité d’une œuvre modeste mais à la cruauté assumée subtilement disséminée.

Le fantôme de l’Opéra (Phantom of the opera, Terence Fisher, 1962)

Réalisé en 1962, The Phantom of the Opera constitue la 3e version cinéma du roman de Gaston Leroux.  Le script de John Elder (Anthony Hinds sous pseudonyme) abandonne ici toutes velléités feuilletonnesques pour se concentrer autour d’une histoire de vengeance folle, très inspirée des Wax Museum (le génie que l’on laisse pour mort après avoir volé son oeuvre), dans lequel le génial compositeur Pétrie vient se venger de l’ignoble Ambrose d’Arcy (Michael Gough, parfait en ignoble imposteur) qui en lui proposant de publier ses partitions les lui a volées et représente depuis ses opéras en se faisant passer pour un compositeur génial. Il est défiguré en voulant détruire l’imprimerie et, obsédé depuis par sa vengeance, il va hanter l’opéra dans lequel retentit une voix lugubre et s’y multiplient d’étranges accidents. On mesure combien cette évolution de l’histoire du fantôme à travers le cinéma va influer sur les variations suivantes, à commencer par Phantom of the paradise qui le fusionnera avec le mythe de Faust. Plus on avance dans les adaptations plus elles s’éloignent d’ailleurs du matériau d’origine. Chez Leroux il hérite du roman noir hugolien à la Han d’Islande ou L’homme qui rit. Son Erik – rebaptisé ici Professeur Pétrie – n’a jamais subi d’accident l’ayant défiguré, mais est né avec cette laideur sur son visage. Parcourant le monde, travaillant aux services d’un Sultan, il est un magicien, prestidigitateur machiavélique, architecte qui s’est échoué dans les sous-sols de l’Opéra Garnier, construisant sur le lac souterrain une demeure démiurgique pleine de pièges, dans laquelle il joue ses partitions diaboliques. Dans cette co-production Universal / Hammer, le script de John Elder reprend donc l’idée de vengeance absente chez Leroux, qui apparaît pour la première fois dans la version de 1943 de la Universal, mais fait cette fois voyager le personnage de Paris à Londres, ce qui lui donne évidemment une tonalité plus proche de la firme, faite de bas-fonds, de rues pavées, de prostituées et de personnages patibulaires, comme si on allait tomber nez à nez avec Jack L’éventreur, où se heurter à Peter Cushing en docteur Frankenstein venant de fermer la porte de son laboratoire. La permanence du lieu hammerien, liée à une mythologie de ses monstres, provoque ce sentiment de familiarité, comme si chacun semblait pouvoir évoluer dans le même décor et s’y rencontrer.

Capture d’écran Blu-Ray © Powerhouse

En apparence, la version de Terence Fisher apparaît comme trop classique, déroulant son intrigue et ses péripéties de manière assez attendue, en terrain connu. Pourtant le réalisateur expérimente, déployant des effets de mise en scène surprenants, dès sa séquence inaugurale. Lorsque la Hammer nous a habitués à une bande son tonitruante sur laquelle défile le « A Hammer film production », le film s’ouvre sur le silence, dix secondes pesantes, avant que ne retentisse l’orgue lugubre du fantôme et que la caméra ne découvre par un travelling latéral le décor solitaire, le héros maudit puis son fidèle serviteur. Jamais peut-être Fisher n’aura mieux étudié sa bande son que dans le Fantôme de l’Opéra. Le héros portant un masque est moins une ombre récurrente qu’une présence auditive, une voix qui retentit en écho dans la loge par le bec de gaz, menace et prévient. La tonalité, le timbre de la voix d’Herbert Lom est effrayant et fabuleux, entre peur et émotion, épaississant le mystère de sa dualité : terreur et douleur. Comme s’il répondait à la version muette de 1925, le Fantôme de Fisher se veut résolument sonore mais pas dans sa texture la plus évidente. Les plus beaux moments, sans musique, invitent à tendre l’oreille aux échos de la caverne, aux bruits de ruissellements et de gouttes d’eau, instants sublimes et troublants lorsque la fureur laisse place à l’écoute attentive du lieu. En contraste violent, la musique d’Edwin Astley s’avère régulièrement frénétique, comme pour mieux témoigner de l’âme damnée du professeur. Il n’a jamais été question de partition volée dans le livre et, choix assez curieux, le scénario troque le Faust de Gounod contre un opéra dédié à Jeanne D’Arc, qui parle peut-être plus aux Anglais tout en gardant un pied en France, et tente probablement de relier la pureté de l’héroïne mythique à celle de Christine. Si l’adaptation abandonne une substance sentimentale essentielle du roman – la passion du fantôme pour la cantatrice Christine – toute l’essence romantique de l’oeuvre subsiste dans la nature de cette créature maudite et insaisissable. Pour poursuivre dans cette importance du son dans le Fisher, c’est bien moins la présence physique et l’admiration visuelle de la cantatrice qui émeut le Professeur Pétrie que la voix de cette dernière, sublimant enfin sa partition, et lui tirant des larmes derrière son masque, la musique géniale ayant enfin trouvé celle qui pourrait lui rendre justice, et donc le venger de cette partition volée.  Fisher excelle également dans la mise en abime théâtrale, chacun semblant jouer son rôle devant et derrière la scène, et même l’antre du fantôme devient à son tour un théâtre, plus proche de l’épouvante, des scènes du Grand-Guignol. Lorsque le tonnerre gronde dans des ruines gothiques où déambule Jeanne sur scène, il éclate plus encore pour le climax et l’enjeu du film. Fisher nous gratifie même d’une évocation des débuts du cinéma : lorsque le héros observe une lanterne magique, le réalisateur entre dedans et l’image originelle envahit l’écran pendant quelques instants – nous renvoyant presque au Fantôme de l’Opéra de 1925.

La photo est particulièrement belle notamment lorsqu’il filme l’antre du Professeur. Si le film joue visuellement la carte du classicisme hammerien, il n’en demeure pas moins régulièrement étonnant lorsqu’il agence des cadres aux couleurs assez neutres dans lesquels explosent régulièrement des petites zones de rouge écarlate, que ce soit celui d’une étoffe, d’un éclairage de fenêtre ou du feu dans un poêle. Si Jack Asher procédait un peu de même dans La Revanche de Frankenstein, le parti pris de la direction photo d’Arthur Grant est encore plus flagrant, confinant presque à l’abstrait. Comme une couleur avalée par le monochrome mais l’éclipsant, un détail infime dans l’espace, qui aspire pourtant le regard, le contrôle et participe à l’étrange et trompeuse beauté de ce Phantom of the Opera.

Meurtre par procuration (Nightmare, Freddie Francis, 1964)

À titre français explicatif, titre anglais générique : Nightmare. D’un côté le suspense, de l’autre la psychologie : c’est en effet l’alliance que propose ce très bon opus de Freddie Francis, réalisé en 1964 et sorte de cousin de Paranoiac, sorti en 1963 et réalisé lui aussi par Francis. On se situe là au début de sa carrière en tant que réalisateur, alors qu’il a déjà apporté son talent de directeur de la photographie aux chefs-d’œuvre de Jack Clayton que sont Les Chemins de la haute ville et Les Innocents. Il fait montre du même talent dans ses réalisations, avec un goût prononcé pour les effets d’ombre et de lumière, même s’il ne les signe pas. Visuellement le noir et blanc fait d’ailleurs beaucoup penser à l’adaptation du Tour d’Écrou, et le personnage de Janet rejoint, dans sa jeunesse et son caractère éthéré l’inoubliable Christiane des Yeux sans Visage de Franju.

© Powerhouse

Meurtre par procuration est un film particulièrement intéressant au sein du catalogue de la Hammer, car la firme joue ici avec ses propres codes. En reine du fantastique elle met en scène un faux fantastique, à la manière des romans gothiques de Horace Walpole ou Ann Radcliffe, et réunit ainsi le meilleur de l’atmosphère fantastique et du thriller psychologique. Ainsi le film s’ouvre sur un cauchemar de Janet, que sa mère démente appelle depuis une pièce située au bout d’un interminable couloir. Vision d’horreur pour la jeune fille, qui étant enfant a assisté au meurtre de son père par sa mère. Fort ébranlée, elle quitte la pension où elle étudie pour aller prendre un peu de repos au domicile de son tuteur, un avocat très souvent absent. Là, malgré la bienveillance de la gouvernante et de la professeure qui l’a accompagnée, Janet ne trouve cependant pas de répit. Elle continue à être assaillie de cauchemars, entend des bruits la nuit et imagine de multiples dangers tapis dans les ombres de la demeure.

Jusqu’au drame. Reconnaissant un jour la femme persécutrice de ses cauchemars en la personne de l’épouse de son tuteur, qu’elle rencontre pour la première fois, elle la poignarde. La surprise, pour le spectateur, est doublement de taille : les faits même sont abrupts et inattendus, mais aussi nous ne sommes qu’à la moitié du film. Un événement qui à la faveur d’un développement plus long aurait pu se situer en climax et fin de film intervient ici au milieu. Cette surprenante césure prépare la suite du film, plus teintée de thriller que de fantastique. On peut regretter que la première partie ne soit pas plus exploitée car alors une bonne partie du suspense psychologique s’évanouit. Janet est un personnage très attachant, et les doutes sur sa santé mentale, la question de la réalité des scenarii qu’elle bâtit dans sa tête, sont parmi les grands attraits de cette première partie, bénéficiant d’une réalisation au diapason, ménageant de grandes zones de mystère.

Les interrogations sont ensuite d’une autre nature, un second film prenant quasiment la suite du premier, à la manière de deux moyens métrages formant un diptyque. Pour autant le mystère demeure, cette fois plus policier que fantastique. Meurtre par procuration bénéficie d’une intrigue particulièrement bien troussée, à la mise en scène très soignée, et interprétée par de très bons acteurs qui nous sont peu familiers. On pourra juste regretter une morale finale quelque peu sentencieuse, à la fois punitive mais en même temps si jubilatoire. Une vraie petite réussite à redécouvrir sans plus tarder.

Captain Clegg (Peter Graham Scott, 1962)

C’est au peu connu Peter Graham Scott que l’on doit ce Captain Clegg en 1962, rebaptisé en France Le fascinant Capitaine Clegg et portant comme autre titre original Night Creatures. Seconde adaptation des aventures du Doctor Syn d’après un roman de Russell Thorndike, le film de Scott se classe parmi les meilleurs films d’aventures de la Hammer. Mystère, spectres et danger sont bien au rendez-vous, mais plus au profit d’une intrigue enlevée que d’un fantastique frissonnant. L’action se situe à la fin du 18ème siècle, sur la côte Sud de l’Angleterre, où le capitaine Collier (superbement détestable Patrick Allen) se rend pour enquêter sur des fantômes des marais semant la terreur parmi la population. C’est aussi dans ce village des Cornouailles qu’est enterré le pirate Clegg, dont la scène d’ouverture nous avait montré la main justicière une quinzaine d’années auparavant. Cet argument hammerien en diable se retrouve rapidement challengé par la dimension comédie du film, qui s’installe au beau milieu d’une troupe de contrebandiers dissimulant leurs bouteilles d’alcool dans les cercueils que construit l’ébéniste du village. Le chef de tout ce petit monde n’est autre que le révérend Blyss, incarné avec la plus grande pertinence par Peter Cushing.

Capture d’écran Blu-Ray © Powerhouse

Très rythmé, Captain Clegg orchestre un réjouissant jeu du chat et de la souris entre Blyss et Collier, qui soupçonne d’emblée l’homme d’église, tout en développant deux intrigues parallèles, qui sont la présence de spectres interdisant toute traversée des marais sous peine de succomber à une crise cardiaque, ainsi que l’histoire d’amour entre Imogene (Yvonne Romain), la pupille du révérend, et le jeune Harry Cobtree (Oliver Reed, qui avait mis un pied mémorable dans la Hammer l’année précédente avec La Nuit du loup-garou de Terence Fisher). Même si l’on sent poindre les diverses révélations qui nous seront faites au terme du récit, il y a dans cet opus un vrai plaisir du mystère autour d’une identité secrète et d’une mascarade diabolique.

La mise en scène est alerte et correspond parfaitement au ton du film, et Scott nous gratifie de quelques morceaux de bravoure à l’occasion des chevauchées macabres des spectres, squelettes juchés sur des chevaux eux aussi squelettes lancés au galop dans une danse terrifiante pour les malheureux qui s’y égarent, et impressionnante pour nous. La photographie d’Arthur Grant y ajoute une ampleur mémorable en découpant ces silhouettes fluorescentes plongées dans la nuit noire. A noter que l’on retrouve au générique, en tant qu’assistants réalisateurs, Peter Medak, qui sera le réalisateur de The Changeling en 1980, ainsi que John Peverall, fidèle assistant de la firme et futur producteur de L’Homme qui venait d’ailleurs de Nicolas Roeg et Voyage au bout de l’enfer de Michael Cimino. Cet opus demeure encore aujourd’hui l’un des plus pertinents exemples de diversification de la Hammer, au moment où la firme souhaitait ne pas se cantonner à l’horreur gothique. Avec Les Pirates du diable, réalisé par Don Sharp en 1964, celui-ci forme un diptyque sur fond de piraterie mais se déroulant sur la terre ferme plutôt qu’à bord d’un bateau ! Dans tous les cas nous embarquons volontiers !

Technique et Suppléments

Niveau qualité des masters et restauration, c’est comme régulièrement chez Powherhouse l’édition idéale, avec des niveaux de colorimétrie jamais égalés pour ces production Hammer. Tous les films proposent une restauration 2K, le son mono d’origine, des commentaires audio d’historiens du cinéma, galeries d’images et bandes annonces TV et ciné, ainsi qu’un livret d’une trentaine de pages proposant interviews, analyses, ainsi que des archives, notamment des extraits presse de la réception à l’époque.

Le spectre du chat

  • Dans l’ombre de Shelley (2020, 25 min) : entretien avec Barbara Shelley
  • Cat People (2021, 5 min) : l’assistante costumière Yvonne Blake et Peter Allchorne, du département immobilier, partagent leurs souvenirs du tournage
  • Special FX Catastrophe (2014, 4 mins) : entretien audio avec l’assistant effets spéciaux Ian Scoones
  • Hammer’s Women : Freda Jackson (2021, 9 min) : portrait de l’actrice par l’universitaire Lucy Bolton
  • Kim Newman présente The Shadow of the Cat (2021, 11 mins) : appréciation du critique et auteur
  • Catmotifs (2021, 18 min) : autour de la partition de Mikis Theodorakis par David Huckvale auteur de Hammer Film Scores and the Musical Avant-Garde
  • Shadow Play: Inside The Shadow of the Cat (2014, 26 minutes) : documentaire mettant en vedette les historiens de la Hammer Alan Barnes, Marcus Hearn, Denis Meikle, Jason Morell et Jonathan Rigby

Captain Clegg

  • Deux présentations du film : Captain Clegg, avec la séquence d’ouverture britannique originale, et celle de Night Creatures, la version US
  • Entretien BEHP avec Peter Graham Scott (2004, 201 minutes) en conversation avec Darrol Blake et John Sealey : entretien filmé couvrant toute sa carrière.
  • Hammer’s Women: Molly Arbuthnot et Rosemary Burrows (2021, 14 min) : l’historienne du cinéma Josephine Botting s’intéresse à deux cheffes costumières de la Hammer.
  • Kim Newman présente Captain Clegg (2021, 14 min) : appréciation du critique et auteur
  • Peter Cushing : Perspectives (2021, 29 mins) : documentaire sur la vie et l’œuvre de Peter Cushing, avec les contributions des acteurs Derek Fowlds, Judy Matheson et Madeline Smith
  • Smugglers’ Gothic (2021, 22 min) : David Huckvale s’intéresse à la partition de Don Banks et l’influence du chef du département musique de la Hammer Films, Philip Martell
  • Making of Captain Clegg (2014, 32 mins) : documentaire raconté par l’acteur John Carson, avec intervention de l’historien du cinéma Wayne Kinsey
  • The Mossman Legacy (2014, 7 mins) : Kinsey discute des contributions aux productions Hammer de l’historien des transports et collectionneur George Mossman

Le fantôme de l’opéra

  • Présentations au choix en 1.66:1 et 1.85:1 de la version cinéma originale (85 min)
  • Coupe TV alternative (99 min) : extended version avec des scènes supplementaires, présentée en open mate en définition standard
  • Down in the Sewers (2020, 6 mins) : l’artiste d’effets spéciaux Brian Johnson se souvient avec émotion de son expérience sur le film
  • Hammer’s Women : Liane Aukin (2021, 7 mins) : portrait de l’actrice, scénariste et réalisatrice par l’universitaire Rachel Knightley
  • Kim Newman présente Le Fantôme de l’Opéra (2021, 13 min) : appréciation du critique et de l’auteur
  • The Men Who Made Hammer : Anthony Hinds (2020, 28 mins) : Richard Klemensen, rédacteur en chef et éditeur du journal Little Shoppe of Horrors, revisite la carrière de l’un des scénaristes et producteurs les plus renommés de Hammer
  • Phantom Triumphant : Edwin Astley and Hammer’s Horror Opera (2020, 16 mins) : David Huckvale s’intéresse ici à la partition classique du Fantôme de l’opéra
  • Herbert Lom : The Soul Behind the Mask (2020, 16 mins) : l’historien du cinéma et scénariste Courtney Joyner se rémémore ses souvenirs avec Herbert Lom
  • Making of du Fantôme de l’Opéra (2014, 31 min) :  présenté par l’acteur Edward de Souza ce documentaire est constitué d’entretiens avec l’historien du cinéma Richard Golen, l’ingénieur du son Alan Lavender et de Souza lui-même
  • Commentaire de la bande-annonce de Brian Trenchard-Smith (2013, 3 min)

Nightmare

  • Entretien BEHP avec Freddie Francis (1994, 83 minutes) : entretien carrière audio réalisé dans le cadre du British Entertainment History Project
  • Jennie Linden : Memories (2016, 15 mins) : entretien avec l’acteur de Nightmare and Women in Love
  • Hammer’s Women : Moira Redmond (2021, 10 min) : portrait de l’actrice par la critique et historienne du cinéma Pamela Hutchinson
  • Kim Newman présente Nightmare (2021, 8 mins)
  • Something Lurking in the Chords (2021, 30 min) : David Huckvale étudie la partition de Don Banks
  • Madhouse : Inside Hammer’s ‘Nightmare’ (2016, 15 minutes) : la création de Nightmare par les historiens de Hammer Alan Barnes, John J Johnston, Kevin Lyons et Jonathan Rigby
  • Nightmare in the Making (2016, 28 mins) : documentaire avec l’historien du cinéma Wayne Kinsey, avec des entretiens avec l’acteur Jennie Linden, le scénariste Jimmy Sangster et le directeur artistique Don Mingaye

 

Coffret édité par Powerhouse films
Les films possèdent des sous-titres en anglais uniquement.

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