« The Prettiest Star » – Playlist David Bowie

Riche de presque 50 ans de carrière, pas moins de 25 albums studio, plus de cent millions d’albums vendus et de nombreuses chansons entrées dans notre mémoire collective, le travail musical de David Bowie est peuplé d’innombrables trésors, certains connus et d’autres plus confidentiels. Nous vous proposons un parcours dans ce grand Oeuvre à travers les morceaux fétiches et/ou préférés de tous nos rédacteurs et rédactrices. Comme vous pouvez vous y attendre, le choix aura été plus que difficile. Il est désormais écoutable via cette playlist youtube.

 

 


Les morceaux préférés de nos rédacteurs (du moins ceux qu’ils souhaitaient mettre en avant)

 

Pierre Audebert

  • Modern Love
  • Scary Monsters (And Super Creeps)
  • Heroes

Xanaé Bove

Bowie nous a confirmé que nous pouvions êtres les héros de notre propre vie, même une journée, et a fait sien l’adage de Baudelaire:  » Le Beau est toujours bizarre ». C’est un proche, un modèle, un fantasme, il a tout simplement changé ma vie. Comme le montre intelligemment le film de Todd Haynes « Velvet Goldmine ».

  • Always Crashing In The Same Car
  •  Heroes
  • TVC 15

Benjamin Cocquenet

  • After All
  • Breaking Glass
  • The Motel

Jeanne Drubay

  • Life On Mars
  • Modern Love
  • Space Oddity

Lucien Halflants

  • Rock’n’Roll Suicide
  • Bewlay Brothers
  • Slip Away
  • Lazarus

  Alain Hertay

  •  After All (Je me souviens de l’album The Man Who Sold the World, c’était en 1982, j’avais 14 ans. Je me souviens qu’un ami m’avait donné cet album et qu’il m’a sauvé des groupes New wave qui passaient à la radio. Je me souviens de mon père horrifié par la pochette de l’album. Je me souviens que cela me plaisait qu’il soit horrifié. Je me souviens d’avoir découvert bien plus tard, en lisant son Journal, que Kurt Cobain écoutait aussi le même album, au même moment que moi et pour les mêmes raisons. )
  • Amsterdam (Je me souviens de mon premier concert important, c’était en 1990, c’était à Bruxelles et c’était Bowie. Je me souviens que la tournée s’appelait Sound + Vision. Je me souviens de l’écran géant et de Bowie dédoublé, tout petit sur scène jouant avec son image immense qui nous surplombait. Je me souviens aussi que Bowie adaptait le choix des chansons pour cette tournée en fonction des lieux où il jouait et qu’il a chanté pour nous sa superbe version du Port d’Amsterdam. )
  • Some Are (Je me souviens du poster du Tin White Duke que j’avais accroché au mur de ma chambre lorsque j’étais ado. Je me souviens que j’avais beaucoup de difficultés à aimer les albums de Bowie dans leur intégralité et que je passais mon temps à faire des compilations personnelles sur cassettes. Je me souviens de l’avoir fait avec les morceaux ambients de Low et Heroes avant de me rendre compte plus tard qu’un tel album existait déjà. Je me souviens que ce rapport ambivalent, conflictuel, avec l’oeuvre de Bowie m’a obligé à réfléchir à mon rapport à la musique, comme je pouvais le faire durant cette même période d’apprentissage avec les films de Godard. Je me souviens que cela m’a construit et certainement aidé à devenir celui que je suis…)

Alexis Hunot

  • Modern Love – pour Mauvais Sang de Carax
  • Forbidden Colors (R.Sakamoto-D.Sylvian) – Ce n’est pas une chanson de Bowie mais Bowie fut aussi important côté cinéma
  • I’m Afraid Of Americans
david_bowie_berlin_trilogy_wallpaper-620x350 (1)

Danielle Lambert

  • Rock’n Roll Suicide
  • Five Years
  • Space Oddity

Bruno Piszorowicz

  • Hello Spaceboy (parce que l’album Outside (Earthling également pour une moindre mesure) signa le retour de Bowie à son sommet créatif et parce que cette chanson reste pour moi, sans doute, la plus forte de toute la décennie 90, surtout dans sa version live)
  • Wild Is The Wind (parce que Bowie règle ses pas dans ceux de la grande Nina Simone et réussit à bouleverser plus que de raison)
  • Changes (cela aurait pu être tant d’autres merveilles (Life On Mars et Ashes To Ashes mais aussi Five Years, Aladdin Sane, Modern Love, Look Back In Anger, une bonne moitié de Black Star, Slip Away, I’m Afraid Of Americans, Jean Genie, John I’m Only Dancing et tant d’autres) mais il s’agit là du premier morceau de ce qui est sans doute mon disque préféré du grand Homme, Hunky Dory.

Bénédicte Prot

  • Space Oddity
  • Let’s Dance
  • Under Pressure

Olivier Rossignot

  • I’m Deranged
  • Outside
  • Putting Out Fire
  • No Control

 Christophe Seguin

  • Rock’n Roll Suicide
  • Fascination
  • Boys Keep Swinging!
  • Station To Station (« It’s too late to believe again… »)

Enrique Seknadje

  • Who Can I Be Now ?
    Velvet Goldmine
    We Are The Dead

Sophie Yavari

  • Rock n’ Roll Suicide
  • Suffragette City
  • La reprise de cactus des Pixies en live

 

 

© Tous droits réservés. Culturopoing.com est un site intégralement bénévole (Association de loi 1901) et respecte les droits d’auteur, dans le respect du travail des artistes que nous cherchons à valoriser. Les photos visibles sur le site ne sont là qu’à titre illustratif, non dans un but d’exploitation commerciale et ne sont pas la propriété de Culturopoing. Néanmoins, si une photographie avait malgré tout échappé à notre contrôle, elle sera de fait enlevée immédiatement. Nous comptons sur la bienveillance et vigilance de chaque lecteur – anonyme, distributeur, attaché de presse, artiste, photographe.
Merci de contacter Bruno Piszczorowicz (lebornu@hotmail.com) ou Olivier Rossignot (culturopoingcinema@gmail.com).

A propos de CulturoCrew

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.